Vie chrétienne
Les messes sont préparées par des équipes liturgiques constituées de paroissiens. Les messes sont animées par des lecteurs, des musiciens et chanteurs. Le prêtre est accompagné par des jeunes qui assurent le service d’autel : « les servants d’autel ». Tous ces services sont accessibles aux paroissiens qui le désirent en fonction de leurs talents. Si l’un de ces services vous intéresse vous pouvez contacter le curé ou l’accueil paroissial.
Responsable de la liturgie : Françoise Bretheau
Si vous souhaitez faire dire une messe pour un membre de votre famille, venez nous voir lors des accueils paroissiaux. Les équipes de notre paroisse sont à votre écoute pour que chaque événement de votre vie soit accompagné.
Un groupe de jeunes adultes en situation profesionnelle est constitué sur notre paroisse.
Les rencontres ont lieu une fois par mois le jeudi soir de 19h à 22h.
Rendez-vous pour la messe de 19h à l’église Saint Denys, puis rencontre à la salle paroissiale autour d’un repas partagé.
Le thème de cette année sera choisi lors de la première rencontre fixée au jeudi 7 octobre.
Dates des rencontres : 7 octobre – 4 novembre – 2 décembre – 6 janvier – 27 janvier – 24 février – 24 mars – 21 avril – 19 mai – 23 juin.
contact: augustin.flammarion@laposte.net
Créées en 1955, les Equipes du Rosaire sont toujours bien vivantes avec près de 80000 membres en France et des équipes qui se créent partout dans le monde !
Les Equipes du Rosaire sont un Mouvement d’Apostolat des Laïcs reconnu en 1967 par les Evêques de France et en 1972 par l’Ordre des Prêcheurs (Dominicains). C’est un mouvement missionnaire… autour de chez soi !
Pour aider amis et voisins à vivre l’Evangile avec Marie, dans le climat fraternel d’un petit groupe, vous allez former une équipe dans votre quartier, votre rue, votre immeuble ou votre village.
A deux ou trois, on peut commencer la prière commune mensuelle dans la maison de l’un ou l’autre, pour avoir la possibilité d’inviter amicalement des voisins, même s’ils n’appartiennent pas à l’équipe, et mettre plus à l’aise “ceux qui n’ont pas l’habitude d’aller à l’église”.
Le Diocèse de Créteil a lancé à la suite du synode diocésain de 2016, les maisons d’évangile. L’objectif est de proposer la lecture de textes d’évangile à tous ceux qui le souhaitent, croyant ou non. Les catholiques sont invités à proposer d’accueillir chez eux les personnes intéressées (amis, voisins, collègues…). Pour connaître la maison d’évangile proche de chez vous, contacter l’accueil paroissial.
« L’évangile n’est pas fait pour être enfermé dans les églises » Mgr SANTIER, ancien évêque de Créteil
en construction
La paroisse d’Arcueil est engagée dans la démarche « Église verte ». Notre paroisse fait partie des 500 communautés, dont trois dans le diocèse, qui se sont formellement engagées dans la démarche église verte.
Ce label est proposé aux communautés chrétiennes et est porté par Le Conseil des Églises chrétiennes en France, La Conférence des évêques de France, l’Assemblée des évêques orthodoxes de France, La Fédération protestante de France. Elle est enrichie par l’encyclique « Laudato Si ‘».
L’éco-diagnostic, questionnaire très complet, constitue le principal point de repère qui permet d’évaluer l’engagement des communautés et de leur attribuer l’un des cinq niveaux du label.
notre paroisse s’est vue attribuer le label « Lis des champs », qui est la deuxième étape de la démarche.
Concrètement sur notre paroisse, une petite équipe s’est montée. Elle réfléchit autour de 5 thématiques :
- Les célébrations et la catéchèse
- Les bâtiments
- Le terrain
- L’engagement local et global
- Les modes de vie
A partir de ces réflexions, l’équipe propose la mise en œuvre d’actions concrètes.
Si vous souhaitez rejoindre cette équipe Église Verte, contactez-nous.
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Un film pour agir.
Des applaudissements à la fin d’un film, ce n’est pas courant. Au cinéma où je suis allé le voir, le film Animal, du réalisateur français Cyril Dion, y a eu droit. Si je m’en réfère à moi, il a touché le cœur et l’intelligence des spectateurs. Le cœur par la simplicité des deux adolescents, Bella et Vipulan, une fille et un garçon, qui s’interrogent sur le rapport que l’humain entretient avec le monde du vivant.
Invités à effectuer un parcours autour du monde pour rencontrer des réalités de terrain, ils passent d’une forêt africaine à un bateau de pêche en mer, d’un élevage industriel de lapins à une immense réserve de vie sauvage, avec des changements pittoresques et obligatoires de vêtements, de modes de vie, de moyens de transport. En chemin, ils se confrontent avec sincérité à des adultes engagés, les uns dans la sauvegarde, les autres dans l’exploitation de la vie animale. Les sentiments des deux jeunes affleurent à tout instant dans leurs rencontres et leurs découvertes.
L’intelligence du spectateur est aussi sollicitée par de nombreuses informations sur la nature et l’économie. Les explications sur le climat, l’équilibre des espèces, le rapport entre l’humain et l’animal, sont si claires que l’on voudrait prendre des notes pour tout retenir. Certaines scènes de maltraitance animale, comme la pêche au thon, sont difficilement supportables. Mais d’autres scènes, comme les loups filmés de nuit, sont de toute beauté.
Le garçon est réfléchi, pose des questions, avance avec des doutes. De lui, je retiens une belle capacité à écouter même des personnes avec qui il est en désaccord. La fille est plus impulsive. D’elle je retiens qu’avec ce voyage, elle qui voulait partir en guerre contre un monde qui détruit la biodiversité et les grands équilibres, si elle n’a pas gagné cette guerre, elle a pourtant gagné de se sentir partie inclusive du monde animal. Cette maturité gagne aussi le spectateur au bout d’une heure et demie, avec l’envie de passer de l’anxiété à la créativité.
Et toi, ami lecteur, passionné pour l’avenir de notre Terre, en quoi seras-tu créatif ?
Gérard Seitz